Note aux auteurs_Regardsuds

Généralité et structure de l’article

Le texte d’un article scientifique publié par la revue Regardsuds présente les caractéristiques suivantes : 8 à 15 pages, police Times New Roman, caractère 12, interligne 1,15. Mais le résumé a la taille 10 avec interligne simple.

La structure d’un article publié par la revue Regardsuds doit être conforme aux règles de rédaction scientifique, selon que l’article est une contribution théorique ou résulte d’une recherche de terrain.

– Pour un article qui est une contribution théorique et fondamentale : Titre, Prénoms et Nom de l’auteur, Institution d’attache, adresse électronique, Résumé en Français [300 mots maximum], Mots clés [5 mots maximum], [Titre en Anglais] Abstract, Keywords, Introduction (justification du thème, problématique, hypothèses/objectifs scientifiques, approche), Développement articulé, Conclusion, Références bibliographiques.

– Pour un article qui résulte d’une recherche de terrain : Titre, Prénoms et Nom de l’auteur, Institution d’attache, adresse électronique, Résumé en Français [300 mots au plus], Mots clés [5 mots au plus, le premier se rapporte à l’espace et tous étant dans le résumé], [Titre en Anglais], Abstract, Keywords, Introduction, Méthodologie explicite, Résultats, Discussion clairement notifiée, Conclusion, Références bibliographiques.

Présentation des titres

Les titres de niveau 1 sont en gras, taille 14, police Time New roman, centrés, espace avant 18, espace après 6, interlignage simple. Ne pas numéroter l’introduction et la conclusion. Les titres de niveau 2 sont en gras, taille 12, police Time New roman, alignés à gauche, espace avant 18, espace après 6, interligne simple. Les titres de niveau 3 sont en gras, italique, taille 12, police Time New roman, alignés à gauche, espace avant 18, espace après 6, interligne simple. Les titres de niveau 4 sont en italique, taille 12, police Time New roman, alignés à gauche, espace avant 18, espace après 6, interligne simple. Les intertitres ne doivent pas être isolés en bas de page, mais toujours suivis d’un paragraphe (format > paragraphe > enchaînement > paragraphes solidaires). Les titres des illustrations, tableaux etc sont en gras, italique, taille 10, police Time New roman, alignés à gauche, espace avant 12, espace après 6, interligne simple. La numérotation se fait en chiffre arabe.

Citation

Les passages cités sont présentés en italique et entre guillemets. Lorsque la phrase citant et la citation dépassent trois lignes, il faut aller à la ligne, pour présenter la citation (interligne 1) en romain et en retrait. Les références de citation sont intégrées au texte citant, selon les cas, de la façon suivante :

– (Initiale (s) du Prénom ou des Prénoms de l’auteur. Nom de l’Auteur, année de publication, pages citées);

– Initiale (s) du Prénom ou des Prénoms de l’auteur. Nom de l’Auteur (année de publication, pages citées).

Exemples:

– En effet, le but poursuivi par M. Ascher (1998, p. 223), est « d’élargir l’histoire des mathématiques de telle sorte qu’elle acquiert une perspective multiculturelle et globale (…),

d’accroitre le domaine des mathématiques: alors qu’elle s’est pour l’essentiel occupé du groupe professionnel occidental que l’on appelle les mathématiciens(…) ».

– Pour dire plus amplement ce qu’est cette capacité de la société civile, qui dans son déploiement effectif, atteste qu’elle peut porter le développement et l’histoire, S. B. Diagne (1991, p. 2) écrit: Qu’on ne s’y trompe pas: de toute manière, les populations ont toujours su opposer à la philosophie de l’encadrement et à son volontarisme leurs propres stratégies de contournements. Celles-là, par exemple, sont lisibles dans le dynamisme, ou à tout le moins, dans la créativité dont sait preuve ce que l’on désigne sous le nom de secteur informel et à qui il faudra donner l’appellation positive d’économie populaire.

– Le philosophe ivoirien a raison, dans une certaine mesure, de lire, dans ce choc déstabilisateur, le processus du sous-développement. Ainsi qu’il le dit : Le processus du sous-développement résultant de ce choc est vécu concrètement par les populations concernées comme une crise globale : crise socio-économique (exploitation brutale, chômage permanent, exode accéléré et douloureux), mais aussi crise socio-culturelle et de civilisation traduisant une impréparation sociohistorique et une inadaptation des cultures et des comportements humains aux formes de vie imposées par les technologies étrangères. (S. Diakité, 1985, p. 105).

Notes de bas de page

Les sources historiques, les références d’informations orales et les notes explicatives sont numérotées en série continue et présentées en bas de page.

Références bibliographiques

Les divers éléments d’une référence bibliographique sont présentés comme suit : NOM et Prénom (s) de l’auteur, Année de publication, Zone titre, Lieu de publication, Zone Éditeur, pages (p.) occupées par l’article dans la revue ou l’ouvrage collectif. Dans la zone titre, le titre d’un article est présenté en romain et entre guillemets, celui d’un ouvrage, d’un mémoire ou d’une thèse, d’un rapport, d’une revue ou d’un journal est présenté en italique. Dans la zone Éditeur, on indique la Maison d’édition (pour un ouvrage), le Nom et le numéro/volume de la revue (pour un article). Au cas où un ouvrage est une traduction et/ou une réédition, il faut préciser après le titre, le nom du traducteur et/ou l’édition (ex : 2nde éd.). Ne sont présentées dans les références bibliographiques que les références des documents cités. Les références bibliographiques sont présentées par ordre alphabétique des noms d’auteur.

Exemple :

AMIN Samir, 1996, Les défis de la mondialisation, Paris, L’Harmattan, nombre de pages.

AUDARD Cathérine, 2009, Qu’est-ce que le libéralisme ? Éthique, politique, société, Paris,

Gallimard, nombre de pages.

BERGER Gaston, 1967, L’homme moderne et son éducation, Paris, PUF, nombre de pages.

DIAGNE Souleymane Bachir, 2003, « Islam et philosophie. Leçons d’une rencontre », Diogène,202, 4, p. 145-151.

DIAKITE Sidiki, 1985, Violence technologique et développement. La question africaine du

développement, Paris, L’Harmattan, nombre de pages.

Typographie française

Il est interdit tout soulignement et toute mise de quelque caractère que ce soit en gras. Les auteurs doivent respecter la typographie française concernant la ponctuation, l’orthographe des noms, les abréviations… Les appels de notes sont des chiffres arabes en exposant, sans parenthèses, placés avant la ponctuation et à l’extérieur des guillemets pour les citations. Tout paragraphe est nécessairement marqué par un alinéa d’un cm à gauche pour la première ligne.

Les images et les fichiers supplémentaires

Pour les cartes ne pas oublier d’indiquer l’échelle graphique et l’orientation. Les illustrations doivent être insérées dans votre texte, mais également fournies dans des fichiers à part (fichiers supplémentaires dans le logiciel d’origine) lors de votre dépôt sur notre plate-forme. Au moment du dépôt du fichier supplémentaire, veuillez entrer les informations suivantes dans le titre :

NomAuteur_TypeFigureNumFigure
Exemple : dupont_carte1.jpg/ dupont_tableau1.doc / dupont_figure1.png

Pour éviter toute erreur :

Vous devez insérer chaque image à sa place dans l’article ou, à défaut, indiquer le nom du fichier fourni séparément pour éviter toute confusion dans le placement et l’ordre des figures.
Vous indiquerez également l’emplacement précis des tableaux avec le nom du fichier, que vous avez mis en fichiers supplémentaires afin qu’il n’y ait aucune confusion.
Par ailleurs, n’oubliez pas de vérifier que les renvois cités dans le corps du texte correspondent bien à la numérotation des illustrations avant de déposer votre article.

Le format des images

On recommande aux auteurs de bien vérifier que les illustrations aient une résolution suffisante pour être lisibles à l’impression, au moins 200 à 300 dpi.
Une image insérée dans un document Word prévue dans le corps de l’article devrait faire au minimum de 1 000 pixels de large. Lorsqu’il s’agit d’un fichier placé en annexe, sa largeur devrait être comprise entre 2500 et 3500 pixels.

Il est également important de faire en sorte que la qualité de l’image subisse le moins de dégradations possibles au cours de son traitement, et de s’assurer qu’une version retravaillée est autant que possible fidèle à l’originale (il faut s’assurer notamment qu’au moment de la réduction d’une image, les proportions hauteur/largeur sont bien conservées). Vous trouverez ci-dessous à la section “Pour obtenir une qualité optimale” une aide à la réalisation de vos images.

Quelques recommandations essentielles

Dans Photoshop, il est déconseillé de choisir l’option « Enregistrer pour le Web », afin de limiter certaines dégradations de l’image (la diminution de la résolution notamment) ; il est donc préférable d’utiliser l’option « enregistrer sous » qui permet de conserver la meilleure qualité possible d’une image au moment de son enregistrement. L’enregistrement d’une image pour publication sur le Web peut se faire au format GIF, JPEG ou PNG, mais ne devrait se faire qu’au format JPEG ou PNG. Pour l’édition électronique, les images couleurs au format JPEG et PNG doivent être en mode RVB et non en mode CMJN (utilisé pour l’impression).

Dans quels cas utiliser ces formats d’image

Le format de compression GIF est utilisé pour les images contenant des aplats de couleurs, et peu de dégradés (illustrations, dessins…) ; ce format est à éviter autant que possible, notamment pour les photographies, car il ne supporte que 256 couleurs et dégrade fortement la qualité des images. Le format JPEG est un format de compression qui gère quant à lui plusieurs millions de couleurs, il s’agit donc d’un format adapté aux photographies, aux peintures, etc., contenant beaucoup de dégradés. Il entraîne néanmoins une perte de qualité de l’image ; l’enregistrement dans ce format ne devrait donc se faire qu’en choisissant la meilleure qualité possible au moment de l’enregistrement. Le poids d’un fichier PNG est cependant plus important que pour un fichier au format JPEG. Il peut être utilisé pour les documents contenant peu d’illustrations. Pour un document contenant beaucoup d’images, il peut parfois être préférable d’utiliser des images au format JPEG. Il est déconseillé d’utiliser le format PNG pour des images contenant des zones de transparence car ces zones seront mal interprétées par certains navigateurs et perdront leur transparence.

Pour obtenir une qualité optimale

Les formats d’images pour le Web avec perte (JPEG et GIF) dégradent la qualité de l’image, notamment en supprimant ou en remplaçant des pixels. Le but de ce type de format est de produire une image d’un poids moins important que l’original, en jouant sur des altérations normalement invisibles (ou quasiment invisibles) à l’œil nu.
L’enregistrement dans un de ces formats ne doit intervenir qu’à la fin du traitement de l’image, lorsque celle-ci est prête à être publiée de manière définitive, la qualité de l’image se dégradant un peu plus à chaque nouvel enregistrement, de manière irréversible, ce qui peut produire des images au final totalement illisibles ou inexploitables au moment de leur publication. Il est donc fortement recommandé d’enregistrer une image dans ces formats uniquement lorsque toutes les modifications souhaitées ont été apportées à l’image.
Jusqu’à sa dernière modification, l’image ne devrait donc être enregistrée que dans des formats sans perte (PSD, PNG, TIFF) et ensuite au format JPEG ou GIF. Le format PNG est le plus recommandé.

Le titre de vos illustrations

Les titres des illustrations seront placés au dessus des illustrations et numérotés par type : tableaux, cartes, figures, photos, encadrés etc. Les titres n’apparaissent pas dans l’illustration, mais dans le texte et respecteront la présentation :

Figure 1 : Evolution des prix de l’immobilier à Paris entre 1950 et 1990

La source de vos illustrations

La source de l’illustration doit être indiquée clairement et sera placée sous l’illustration. On précisera la source des données ayant permis la réalisation de l’illustration (par exemple : US Census, 2001) et la source de l’illustration elle-même si l’auteur utilise une illustration déjà publiée dans un ouvrage.

Autres conditions 

La revue Regardsuds ne publiera que des contributions originales, pertinentes et de bonne facture. Pour y parvenir, elle s’abstient de publier tout article dont les rapports d’instruction sont défavorables.

N.B. Le non-respect des prescriptions du présent canevas peut justifier le refus de votre article.

La soumission

Pour soumettre à Regardsuds, l’auteur s’engage à ce que son article ne soit pas soumis à une autre revue. Il s’engage également à anonymiser tous ses documents, texte et illustrations.

Regardsuds offre désormais une plate-forme en ligne de dépôt de vos manuscrits :

http://submissions.regardsuds.org/

Merci de bien veiller à remplir toutes les conditions et notamment à ce que votre article soit anonyme. Si c’est la première fois que vous soumettez un article, veuillez tout d’abord vous inscrire.